Manon Labonde est une artiste Montpelliéraine qui dessine depuis son enfance. Essentiellement  au travers de l’élégance féminine et la romance.

L’œuvre de Manon est la plus grande du restaurant, située sur le plafond juste en face de l’entrée, elle est prédominante. Cet emplacement n’est évidemment pas anodin… En effet, nous l’avons située entre le mur de Berlin et le Checkpoint Charlie, car il comporte un message important : « Make Art Not War » (faites de l’art, pas la guerre) ainsi que « Eyes Open » (les yeux ouverts) et « Mind Open » (l’esprit ouvert). Elle réalise, dans son style féminin et épuré, une reproduction de l’oeuvre Shepard Fairey. Son intention est de retranscrire la force, et l’amour. La femme regarde droit devant elle.

Cléa est une artiste découverte sur Montpellier

Cléa a eu pour consignes de créer un dessin en lien avec Berlin avec exclusivement comme couleurs du blanc et du rouge. 

Son œuvre représente un joyeux nain de jardin, un dîner dans une main et un râteau dans l’autre. Par l’illustration du fil barbelé, ce dessin en un trait fait référence au célèbre mur de Berlin qui divisa l’Allemagne en 1961. 

Lola est une artiste très créative. Elle fait de la sérigraphie, des collages, de la photographie mais surtout du dessin. 

Les consignes pour Lola ont été de créer une œuvre en rapport avec Berlin. Elle s’est inspiré des différentes façons insolites de traverser le mur de Berlin.

Son personnage funambule fait référence à l’acrobate Est-allemand, Horst Klein, qui a traversé le mur de Berlin en 1963 grâce à un câble électrique inutilisé qu’il avait repéré au préalable. Son personnage tient dans ses mains des cordes qui le rattachent à un cercle au-dessus de son corps. Elle fait référence ici aux deux familles, Strelzyk et Wetzel, qui ont fait la traversée en 1979 à bord d’une montgolfière qu’ils ont fabriqué, eux-même, dans le plus grand des secrets.

Lio est un artiste Montpelliérain. Sa spécialité est le semi-abstrait et plus particulièrement les portraits 

Lio a eu pour consignes de créer une œuvre au plafond du restaurant, dans l’univers de Berlinpinpin, tout en conservant son style.

Son œuvre, intitulée « Monsieur Bermo », est le portrait semi-abstrait d’un homme, une rose à la bouche. Dans son œil droit sont inscrites des lettres de l’alphabet composant le mot « Berlin ». Dans son œil gauche, celles composant « Montpellier ». L’œuvre représente un coup de cœur suite à la rencontre entre Berlin et Montpellier.

Helline est une artiste peintre et graphiste en free-lance. Elle propose des customs et fait beaucoup de street art. 

L’oeuvre représentée ici est un bretzel. originaire de l’Allemagne, ce pain est emblématique de la culture Berlinoise. Helline a tout de même intégré sa patte artistique en y incorporant des visuels floraux.  

Si vous voulez voir cette oeuvre n’hésitez pas à passer au restaurant Berlinpinpin! 

Aurelia est une artiste qui dessine par pure passion, son style est très coloré et réaliste. 

Aurelia a reçu comme consignes de faire un dessin de street art berlinois. Pour ce faire, l’artiste n’a eu le droit qu’à 3 couleurs : le rouge, le blanc et le noir. 

Selon sa représentation, l’art berlinois est la résultante de l’expression et de la liberté. Sortir des injonctions et de soi-même alors que notre quotidien nous submerge. Son dessin représente donc une tête pleine mais qui, d’apparence extérieure, se canalise. 

Lucie est une artiste Montpelliéraine, elle peint, fait de la musique, mais sa spécialité reste la calligraphie ! 

Lucie fait essentiellement de la calligraphie street art. La particularité de ce lettrage urbain est différent du graffiti. La calligraphie tend à mettre la lettre en valeur à travers une dimension esthétique. 

Ici, Lucie a effectué un lettrage en forme de demi-cercle. Cette forme a été spécialement choisie pour donner un effet d’ornement. 

Clara est une artiste qui adore dessiner des personnages farfelus que l’on peut retrouver dans la rue ou en soirée 

L’objectif recherché était de mélanger le street art et l’univers du restaurant Berlinpinpin. 

Le nom de Berlinpinpin a tout de suite inspiré l’artiste en référence à la poudre de « perlimpinpin ». L’expression fait référence aux diverses poudres vendues jadis par des charlatans, qui les présentaient comme dotées de vertus guérissantes, alors qu’elles n’avaient aucun effet bénéfique. 

Le personnage principal de ces deux créations est donc un punk qui aspire la poudre avec une paille. En référence au jeu de mot et à l’expression. Les petits personnages plus zinzins les uns que les autres imagent la mixité et la communauté Berlinoise lors de la résistance face au mur de Berlin. 

Lila est une artiste découverte sur Montpellier, adepte du dessin à la main

Les consignes de Lila étaient de faire une œuvre sur l’univers de Berlin.

Elle a décidé de faire la colonne de la victoire version moderne, car il n’y a pas de raison qu’elle ne s’adapte pas ! Par contre, pas question de nier ses origines, d’où le tableau au-dessus. Elle a un air espiègle et détaché, la victoire n’a que faire du temps qui passe, elle reste présente malgré tout. Elle a voulu rappeler que les éléments historiques présents dans le paysage urbain ne doivent pas être regardés avec lassitude juste parce qu’ils sont « vieux ». Au contraire, chaque symbole doit être réinterprétés par rapport aux considérations modernes.

Lorie est une artiste Montpelliéraine, elle aime beaucoup la photographie et est venue dessiner sur le plafond de Berlinpinpin. 

Lorie avait pour consignes de dessiner un ours sur le plafond de Berlinpinpin. 

L’ours est l’emblème de Berlin de 1280, il orne aujourd’hui les armoiries de Berlin. Lorie a dessiné un ours minimaliste avec la même posture que l’ours initiale. L’objectif est de reconnaitre l’ours et de faire le rapprochement avec son histoire! 

Lu est une artiste Montpelliéraine, spécialisée dans l’art visuel. Elle tient également une entreprise de galerie de NFT. 

Cette artiste très talentueuse avait pour mission de décorer un mur entier de Berlinpinpin. Ce mur représente le mur de Berlin. Beaucoup d’artistes pendant la guerre ont décoré ce mur ! L’artiste s’est inspirée de l’album de Pink Floyd nommé « The Wall ». Elle s’en est inspirée pour créer un effet 3D comme si le mur était en train de se défaire et qu’il existait, derrière, tout un autre univers. 

Le nom de l’œuvre s’appelle « The Abysse Stares Back » et viens de la citation de Nietzsche qui dit que : « Quand on lutte contre les monstres, il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même ». Si tu regardes longtemps dans l’abîme, l’abîme regarde aussi en toi. L’artiste utilise les Yokaï pour représenter cet abîme. Cette œuvre est également une œuvre NFT. 

Évariste est un artiste Togolais aux multiples facettes. En effet, il est cinéaste, réalisateur, artiste plasticien, avec une dimension artistique développée. 

Évariste avait pour consigne de s’inspirer de la culture berlinoise. Il a choisi l’arc de Berlin, communément appelé la porte de Brandebourg.

Elle est tournée vers la Pariser Platz, considérée comme la place la plus intéressante de la ville. Elle témoigne d’une amitié franco-allemande puissante, grâce à l’hommage rendu qui était devenu un symbole de la victoire prussienne sur Napoléon.

L’œuvre peinte fait également référence à l’arc de triomphe de Montpellier ! L’œuvre a été réalisée en grande partie à la main avec de l’acrylique à l’huile.